QUATORZIÈME STATION
V/. Adoramus te, Christe, et benedicimus tibi. De l’Évangile selon saint Matthieu 27, 57 - 60
MÉDITATION Avec la pierre qui ferme l’entrée du sépulcre, tout semble être vraiment terminé. Mais l’Auteur de la vie pouvait-il rester prisonnier de la mort ? C’est pourquoi le tombeau de Jésus, depuis lors et jusqu’à aujourd’hui, n’est pas seulement devenu l’objet de la plus émouvante dévotion, mais il est aussi à l’origine de la plus profonde division des intelligences et des cœurs : là se séparent les routes entre ceux qui croient au Christ et ceux qui ne croient pas en lui, même si par ailleurs ils le considèrent comme un homme merveilleux. Ce tombeau s’est bien vite retrouvé vide et jamais on n’a pu trouver une explication convaincante au fait qu’il soit resté vide, si ce n’est celle qu’ont donnée les témoins de Jésus ressuscité des morts, de Marie-Madeleine à Pierre, en passant par les autres apôtres. Devant le tombeau de Jésus, nous demeurons en prière, demandant à Dieu les yeux de la foi qui nous permettent de nous unir aux témoins de sa résurrection. Ainsi, le chemin de la croix devient également, pour nous, source de vie. Tous: Pater noster, qui es in cælis:
DISCOURS DU SAINT-PÈRE
Le Saint-Père s'adresse aux personnes présentes. À la fin de son discours, le Saint-Père donne la Bénédiction apostolique :
V/. Dominus vobiscum. V/. Sit nomen Domini benedictum. V/. Adiutorium nostrum in nomine Domini. V/. Benedicat vos omnipotens Deus, CHANT R. Crux fidelis, inter omnes arbor una nobilis, 1. Pange, lingua, gloriosi prœlium certaminis, 2. De parentis protoplasti fraude factor condolens,
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