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MESSAGGIO DEL SANTO PADRE FRANCESCO AI MUSULMANI PER LA FINE DEL RAMADAN, 02.08.2013


MESSAGGIO DEL SANTO PADRE FRANCESCO AI MUSULMANI PER LA FINE DEL RAMADAN

TESTO IN LINGUA INGLESE

TRADUZIONE IN LINGUA FRANCESE

TRADUZIONE IN LINGUA ITALIANA 

TRADUZIONE IN LINGUA ARABA

Pubblichiamo di seguito il Messaggio per la Festa di fine Ramadan, indirizzato ai musulmani nel mondo intero, che quest’anno Papa Francesco ha voluto firmare personalmente.
Ricordiamo che un analogo messaggio è stato inviato ogni anno a cominciare dal 1967 dal Pontificio Consiglio per il Dialogo Interreligioso. Un’eccezione si è avuta nel 1991 quando Papa Giovanni Paolo II decise di rivolgere personalmente questo messaggio ai musulmani.
Questo il testo del Messaggio di Papa Francesco per la Festa di fine Ramadan (‘Id al-Fitr 1434 H. / 2013 A.D.), sul tema La promozione del mutuo rispetto attraverso l’educazione:

TESTO IN LINGUA INGLESE

To Muslims throughout the World

It gives me great pleasure to greet you as you celebrate ‘Id al-Fitr’, so concluding the month of Ramadan, dedicated mainly to fasting, prayer and almsgiving.

It is a tradition by now that, on this occasion, the Pontifical Council for Interreligious Dialogue sends you a message of good wishes, together with a proposed theme for common reflection. This year, the first of my Pontificate, I have decided to sign this traditional message myself and to send it to you, dear friends, as an expression of esteem and friendship for all Muslims, especially those who are religious leaders.

As you all know, when the Cardinals elected me as Bishop of Rome and Universal Pastor of the Catholic Church, I chose the name of "Francis", a very famous saint who loved God and every human being deeply, to the point of being called "universal brother". He loved, helped and served the needy, the sick and the poor; he also cared greatly for creation.

I am aware that family and social dimensions enjoy a particular prominence for Muslims during this period, and it is worth noting that there are certain parallels in each of these areas with Christian faith and practice.

This year, the theme on which I would like to reflect with you and with all who will read this message is one that concerns both Muslims and Christians: Promoting Mutual Respect through Education.

This year’s theme is intended to underline the importance of education in the way we understand each other, built upon the foundation of mutual respect. "Respect" means an attitude of kindness towards people for whom we have consideration and esteem. "Mutual" means that this is not a one-way process, but something shared by both sides.

What we are called to respect in each person is first of all his life, his physical integrity, his dignity and the rights deriving from that dignity, his reputation, his property, his ethnic and cultural identity, his ideas and his political choices. We are therefore called to think, speak and write respectfully of the other, not only in his presence, but always and everywhere, avoiding unfair criticism or defamation. Families, schools, religious teaching and all forms of media have a role to play in achieving this goal.

Turning to mutual respect in interreligious relations, especially between Christians and Muslims, we are called to respect the religion of the other, its teachings, its symbols, its values. Particular respect is due to religious leaders and to places of worship. How painful are attacks on one or other of these!

It is clear that, when we show respect for the religion of our neighbours or when we offer them our good wishes on the occasion of a religious celebration, we simply seek to share their joy, without making reference to the content of their religious convictions.

Regarding the education of Muslim and Christian youth, we have to bring up our young people to think and speak respectfully of other religions and their followers, and to avoid ridiculing or denigrating their convictions and practices.

We all know that mutual respect is fundamental in any human relationship, especially among people who profess religious belief. In this way, sincere and lasting friendship can grow.

When I received the Diplomatic Corps accredited to the Holy See on 22 March 2013, I said: "It is not possible to establish true links with God, while ignoring other people. Hence it is important to intensify dialogue among the various religions, and I am thinking particularly of dialogue with Islam. At the Mass marking the beginning of my ministry, I greatly appreciated the presence of so many civil and religious leaders from the Islamic world." With these words, I wished to emphasize once more the great importance of dialogue and cooperation among believers, in particular Christians and Muslims, and the need for it to be enhanced.

With these sentiments, I reiterate my hope that all Christians and Muslims may be true promoters of mutual respect and friendship, in particular through education.

Finally, I send you my prayerful good wishes, that your lives may glorify the Almighty and give joy to those around you.

Happy Feast to you all!

From the Vatican, 10 July 2013

FRANCISCUS

[01143-02.01] [Original text: English]

 

TRADUZIONE IN LINGUA FRANCESE

 Aux musulmans partout dans le monde

 C’est pour moi un grand plaisir de vous saluer alors que vous célébrez ‘Id al- Fitr’ concluant ainsi le mois de Ramadan, consacré principalement au jeûne, à la prière et à l’aumône.

Il est désormais de tradition qu’en cette occasion le Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux vous adresse un Message de vœux, accompagné d’un thème en vue d’une réflexion commune. Cette année, la première de mon Pontificat, j’ai décidé de signer moi-même ce Message traditionnel et de vous l’envoyer, chers amis, comme expression d’estime et d’amitié envers tous les musulmans, spécialement envers leurs chefs religieux.

Comme vous le savez, lorsque les cardinaux m’ont élu Évêque de Rome et Pasteur universel de l’Eglise catholique, j’ai choisi le nom de « François », un saint très célèbre qui a si profondément aimé Dieu et chaque être humain au point d’être appelé le «Frère universel». Il a aimé, aidé et servi les nécessiteux, les malades et les pauvres ; en outre il a eu un grand souci de la sauvegarde de la création.

Je suis conscient que les dimensions de la famille et de la société sont particulièrement importantes pour les musulmans pendant cette période, et il vaut la peine de noter qu’il y a des parallèles avec la foi et la pratique chrétiennes dans chacun de ces domaines.

Cette année, le thème sur lequel je voudrais réfléchir avec vous et également avec tous ceux qui liront ce message, c’est un thème qui concerne à la fois musulmans et chrétiens : il s’agit de la promotion du respect mutuel à travers l'éducation.

Le thème de cette année entend souligner l’importance de l’éducation en fonction de la manière où nous nous comprenons les uns les autres sur la base du respect mutuel. «Respect» signifie une attitude de gentillesse envers les personnes pour lesquelles nous avons de la considération et de l’estime. «Mutuel» exprime un processus qui, loin d’être à sens unique, implique un partage des deux côtés.

Ce que nous sommes appelés à respecter dans chaque personne, c’est tout d’abord sa vie, son intégrité physique, sa dignité avec les droits qui en découlent, sa réputation, son patrimoine, son identité ethnique et culturelle, ses idées et ses choix politiques. C’est pourquoi nous sommes appelés à penser, à parler et à écrire de manière respectueuse de l’autre, non seulement en sa présence, mais toujours et partout, en évitant la critique injustifiée ou diffamatoire. À cette fin, la famille, l’école, l’enseignement religieux et toutes les formes de communications médiatiques jouent un rôle déterminant.

Pour en venir maintenant au respect mutuel dans les relations interreligieuses, notamment entre chrétiens et musulmans, ce que nous sommes appelés à respecter c’est la religion de l’autre, ses enseignements, ses symboles et ses valeurs. C’est pour cela que l’on réservera un respect particulier aux chefs religieux et aux lieux de culte. Quelles-sont douloureuses ces attaques perpétrées contre l’un ou l’autre de ceux-ci!

Il est clair que, quand nous montrons du respect pour la religion de l’autre ou lorsque nous lui offrons nos vœux à l’occasion d’une fête religieuse, nous cherchons simplement à partager sa joie sans qu’il s’agisse pour autant de faire référence au contenu de ses convictions religieuses.

En ce qui concerne l’éducation des jeunes musulmans et chrétiens, nous devons encourager nos jeunes à penser et à parler de manière respectueuse des autres religions et de ceux qui les pratiquent en évitant de ridiculiser ou de dénigrer leurs convictions et leurs rites.

Nous savons tous que le respect mutuel est fondamental dans toute relation humaine, spécialement entre ceux qui professent une croyance religieuse. C’est n’est qu’ainsi que peut croître une amitié durable et sincère.

Recevant le Corps diplomatique accrédité près le Saint-Siège, le 22 mars 2013, j’ai affirmé: « On ne peut vivre des liens véritables avec Dieu en ignorant les autres. Pour cela, il est important d’intensifier le dialogue entre les différentes religions, je pense surtout au dialogue avec l’islam, et j’ai beaucoup apprécié la présence, durant la messe du début de mon ministère, de nombreuses autorités civiles et religieuses du monde islamique ». Par ces mots, j’ai voulu souligner encore une fois la grande importance du dialogue et de la coopération entre croyants, en particulier entre chrétiens et musulmans, ainsi que la nécessite de renforcer cette coopération.

C’est avec ces sentiments que je réitère l’espoir que tous les chrétiens et les musulmans soient de véritables promoteurs du respect mutuel et de l’amitié, en particulier à travers l’éducation.

Je vous adresse, enfin, mes vœux priants pour que vos vies puissent glorifier le Très-Haut et apporter la joie autour de vous.

 Bonne fête à vous tous !

 Du Vatican, le 10 juillet 2013

 FRANCISCUS

 [01143-03.01] [Texte original: Englais]

 

  TRADUZIONE IN LINGUA ITALIANA

 Ai musulmani nel mondo intero

 È per me un grande piacere rivolgervi il mio saluto in occasione della celebrazione di ‘Id al-Fitr’ che conclude il mese di Ramadan, dedicato principalmente al digiuno, alla preghiera e all’elemosina.

È ormai tradizione che, in questa occasione, il Pontificio Consiglio per il Dialogo Interreligioso vi mandi un messaggio augurale, accompagnato da un tema offerto per la riflessione comune. Quest’anno, il primo del mio Pontificato, ho deciso di firmare io stesso questo tradizionale messaggio e di inviarvelo, cari amici, come espressione di stima e amicizia per tutti i musulmani, specialmente coloro che sono capi religiosi.

Come tutti sapete, quando i Cardinali mi hanno eletto come Vescovo di Roma e Pastore Universale della Chiesa cattolica, ho scelto il nome di «Francesco», un santo molto famoso, che ha amato profondamente Dio e ogni essere umano, al punto da essere chiamato «fratello universale». Egli ha amato, aiutato e servito i bisognosi, i malati e i poveri; si è pure preso grande cura della creazione.

Sono consapevole che, in questo periodo, le dimensioni familiare e sociale sono particolarmente importanti per i musulmani e vale la pena di notare che vi sono certi paralleli in ciascuna di queste aree con la fede e la pratica cristiane.

Quest’anno, il tema su cui vorrei riflettere con voi e con tutti coloro che leggeranno questo messaggio, e che riguarda sia i musulmani sia i cristiani, è la promozione del mutuo rispetto attraverso l’educazione.

Il tema di quest’anno intende sottolineare l’importanza dell’educazione nel modo in cui ci comprendiamo gli uni gli altri, sulla base del mutuo rispetto. «Rispetto» significa un atteggiamento di gentilezza verso le persone per cui nutriamo considerazione e stima. «Mutuo» significa che questo non è un processo a senso unico, ma qualcosa che si condivide da entrambe le parti.

Ciò che siamo chiamati a rispettare in ciascuna persona è innanzitutto la sua vita, la sua integrità fisica, la sua dignità e i diritti che ne scaturiscono, la sua reputazione, la sua proprietà, la sua identità etnica e culturale, le sue idee e le sue scelte politiche. Siamo perciò chiamati a pensare, parlare e scrivere dell’altro in modo rispettoso, non solo in sua presenza, ma sempre e dovunque, evitando ingiuste critiche o diffamazione. Per ottenere questo scopo, hanno un ruolo da svolgere le famiglie, le scuole, l’insegnamento religioso e ogni genere di mezzi di comunicazione sociale.

Venendo ora al mutuo rispetto nei rapporti interreligiosi, specialmente tra cristiani e musulmani, siamo chiamati a rispettare la religione dell’altro, i suoi insegnamenti, simboli e valori. Uno speciale rispetto è dovuto ai capi religiosi e ai luoghi di culto. Quanto dolore arrecano gli attacchi all’uno o all’altro di questi!

Chiaramente, nel manifestare rispetto per la religione degli altri o nel porgere loro gli auguri in occasione di una celebrazione religiosa, cerchiamo semplicemente di condividerne la gioia, senza fare riferimento al contenuto delle loro convinzioni religiose.

Riguardo all’educazione della gioventù musulmana e cristiana, dobbiamo formare i nostri giovani a pensare e parlare in modo rispettoso delle altre religioni e dei loro seguaci, evitando di mettere in ridicolo o denigrare le loro convinzioni e pratiche.

Sappiamo tutti che il mutuo rispetto è fondamentale in ogni relazione umana, specialmente tra persone che professano una credenza religiosa. È così che può crescere un’amicizia sincera e duratura.

Nel ricevere il Corpo Diplomatico accreditato presso la Santa Sede, il 22 marzo 2013, ho detto: «Non si possono vivere legami veri con Dio, ignorando gli altri. Per questo è importante intensificare il dialogo fra le varie religioni, penso anzitutto a quello con l’Islam, e ho molto apprezzato la presenza, durante la Messa d’inizio del mio ministero, di tante Autorità civili e religiose del mondo islamico». Con queste parole, ho voluto ribadire ancora una volta la grande importanza del dialogo e della cooperazione tra credenti, in particolare tra cristiani e musulmani, e la necessità di rafforzarla.

Con tali sentimenti, rinnovo la mia speranza che tutti i cristiani e musulmani possano essere veri promotori di mutuo rispetto e amicizia, in particolare attraverso l’educazione.

Vi porgo, infine, i miei migliori auguri e preghiere affinché le vostre vite possano glorificare l’Altissimo e arrecare gioia a coloro che vi circondano.

Buona festa a tutti voi!

Dal Vaticano, 10 luglio 2013

FRANCISCUS

[01143-01.01] [Testo originale: Inglese]

 

TRADUZIONE IN LINGUA ARABA

 رسالة إلى مسلمي العالم أجمع

 

يسعدني أن أوجِّه إليكم تحيَّتي هذه بمناسبة احتفالكم بعيد الفطر في ختام شهر رمضان، المخصَّص بصورة رئيسة للصوم والصلاة والصدقة.

 

جرت العادة أن يوجِّه إليكم المجلس البابوي للحوار بين الأديان التهاني بالعيد، مرفقة بدعوة إلى النظر معًا في موضوع معيَّن. هذه السنة، الأولى من حَبريَّتي، قرّرت أن أوقِّع أنا بنفسي هذه الرسالة إليكم، أيها الأصدقاء الأعزاء، للتعبير عن تقديري ومودَّتي لجميعكم، وبصورة خاصّة للقادة الدينيّين بينكم.

 

كما تعلمون جميعكم، عندما انتخبني مجمع الكرادلة أسقفًا لروما وراعيًا للكنيسة الكاثوليكية بأسرها، اخترت اسم "فرنسيس"، وهو قديس مشهور أحبَّ الله وكلَّ إنسان في خلق الله إلى حد أنه دُعِي بـ"أخ الجميع". أحبَّ وساعد وخدم المحتاجين والمرضى والفقراء، واهتمَّ للخليقة كلِّها.

 

أعي جيّدًا أن العائلة والأبعاد الاجتماعية تكتسب أهميّة خاصة بالنسبة للمسلمين خلال هذه الفترة. والجدير بالذكر أن هناك بعض أوجه الشبه في كلٍّ من هذه المجالات مع الإيمان المسيحي وممارسته.

 

في هذه السنة، الموضوع الذي أوَدّ أن أتأمّل فيه وإيّاكم وجميع الذين سيقرأون هذه الرسالة هو موضوع يهمُّنا كلَّنا، مسيحيّين ومسلمين، ألا وهو: تعزيز الاحترام المتبادل من خلال التربية.

 

رسالة هذه السنة تركِّز على أهمّيّة التربية في الطريقة التي نفهم بها أحدنا الآخر، والتي أساسها الاحترام المتبادل. "الاحترام" يعني موقفًا من المودّة لأناس لهم في مشاعرنا اعتبار وتقدير. و"المتبادل" يعني أنّ الموقف ليس موقفًا من جهة واحدة، بل هو موقف يشترك فيه الجانبان.

 

ما نحن مدعوون لاحترامه في كلّ شخص هو قبل كلّ شيء حياته وسلامته الجسديّة، ثم كرامته كإنسان والحقوق الناجمة عن هذه الكرامة، وسمعته وكلَّ ما يملك، وهوّيّته الإثنيّة والثقافيّة، وأفكاره وخياراته السياسية. لذلك نحن مدعوُّون إلى التفكير والتكلّم والكتابة بطريقة تحترم الآخر، وليس فقط إذا كان حاضرًا، بل دائمًا وفي كلّ مكان، فنترك جانبًا كلَّ نقد لا يليق وكلَّ تشهير. وللعائلات والمدارس والتربية الدينيّة ووسائل الإعلام بجميع أشكالها دور تلعبه من أجل تحقيق هذا الهدف.

 

وعودة إلى الاحترام المتبادل في العلاقات بين المؤمنين، لا سيّما بين المسيحيّين والمسلمين، نحن مدعوون لاحترام ديانة الآخر وتعاليمها ورموزها وقيمها،  ويتوجب كذلك احترام خاص للقادة الدينيين ولأماكن العبادة. كم هي مؤلمة الاعتداءات التي يتعرّضون لها!

 

ومن الواضح أنَّنا إذا أبدينا احترامنا لديانة الآخر أو قدَّمنا له تمنِّياتنا الطيِّبة في مناسبة الاحتفالات الدينية، فإننا نشاركه فرحه وسروره بالعيد، دون التطرق إلى مضمون قناعاته الدينيّة.

 

أما بالنسبة لتربية الشباب المسلمين والمسيحيين، فعلينا أن نربي الأجيال الصاعدة على التفكير والتكلم باحترام عن الديانات الأخرى وأتباعها، والابتعاد عن كلَّ استخفاف أو إساءة لعقائدهم وممارساتهم.

 

كلُّنا يعلم أنّ الاحترام المتبادل أساسيّ في كلّ علاقة بشريّة وخاصة بين أتباع الأديان. بهذه الطريقة يمكن لصداقة حقيقية ودائمة أن تنمو.

لمّا استقبلتُ أعضاء السلك الدبلوماسيّ المعتمد لدى الكرسي الرسولي، في 22 آذار2013، قلتُ: "لا يمكن إقامة علاقات مع الله إذا ما تجاهلنا غيرنا. وبالتالي من الأهميّة بمكان تكثيف الحوار بين مختلف الديانات، وأنا أفكَّر بصورة خاصّة في الحوار مع الإسلام. وخلال القدّاس الإلهي الذي ترأسته في بداية خدمتي البابويّة، عبَّرتُ عن تقديري الكبير لحضور العديد من الرؤساء المدنيّين والدينيّين من العالم الإسلامي". أردتُ بهذه الكلمات أن أؤكد، مرَّة أخرى، على الأهمية البالغة للحوار والتعاون بين المؤمنين، لا سيّما بين المسيحيّين والمسلمين، وعلى ضرورة  تعزيزه.

 

وبهذه المشاعر، أتمنّى مجددا أن يكون المسيحيون والمسلمون بأجمعهم دُعاةً حقيقيين للاحترام المتبادل والصداقة، وخاصة من خلال التربية.

 

ختاما، أقدِّم لكم تمنيّاتي الطيبة وأسأل الله لكم حياة موفَّقة ومباركة تمجِّده تعالى وتجلب المسرَّة لجميع الناس من حولكم.

 

كل عام وأنتم بخير!

 

 

من حاضرة الڤاتيكان، 10 تموز 2013

 

فرنسيس

 

 

01143-08.01] [Testo originale: Inglese]

[B0512-XX.01]